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Note moyenne de cet épisode: 18.0 / 20 (1)
Classement cette saison : 1
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russel 
18.0
18.0
Bien accroché à cet épisode vigilante qui introduisait le personnage de Viggo. Il faut dire que je regarderais avec intérêt à peu près n'importe quoi dans lequel figure John Hawke. Ca démarre plus rapide que précédemment, avec le contrat foiré de Viggo, on se dit qu'on va tomber dans le mode thriller et en fait rapidement on retrouve Miles Teller, le roi de la marche lente, discipline opposée à la marche sportive consistant à se mouvoir le plus rapidement possible sans décoller les pieds du sol. Ca devient le running gag de la série surtout qu'ils sont un paquet à la pratiquer. Néanmoins on explique un peu le pourquoi de cette attitude un peu coulée du gars qui semble glisser sur les événements, puisqu'il est avéré désormais que Martin Jones est un psychopathe.
A noter qu'on a laissé pour cet épisode s'écouler plusieurs mois, puisque Martin Jones est désormais detective à la criminelle. Marrant que la série s'étale sur le temps de la sorte.On retrouve l'essentiel des protagonistes du pilote, la copine de Martin toujours mineure, le père de la copine de Martin, les bad guys dont Damian (j'ai cru qu'il allait avoir droit au même selfie mortel que l'ex collègue de Martin). En revanche on laisse les latinos dans leur pampa, on y reviendra forcément ultérieurement, on en mélange pas, tout est bien segmenté. Je n'avais sur le coup absolument pas reconnu Jena Malone dans le rôle multitâche de Diana. Son visage a changé il me semble ou c'est juste le fait qu'elle soit blonde...
Je reste admiratif de la précision avec laquelle sont réglés beaucoup de plans longs, à la limite de la chorégraphie. C'est du boulot qui est tout de même un cran au dessus du gros de la production. C'est vrai que la narration n'est absolument pas ponctuée au coup de théâtre, mais on redécouvre un plaisir de la temporalité qui nécessite un peu de patience. Et ça fonctionne. Je ne sais pas trop ce que Viggo va pouvoir apporter à Martin, ils sont en tout cas pris dans la même spirale meurtrière à défaut d'être semblables. Leur point commun étant au moins d'être des cas désespérés.
A noter qu'on a laissé pour cet épisode s'écouler plusieurs mois, puisque Martin Jones est désormais detective à la criminelle. Marrant que la série s'étale sur le temps de la sorte.On retrouve l'essentiel des protagonistes du pilote, la copine de Martin toujours mineure, le père de la copine de Martin, les bad guys dont Damian (j'ai cru qu'il allait avoir droit au même selfie mortel que l'ex collègue de Martin). En revanche on laisse les latinos dans leur pampa, on y reviendra forcément ultérieurement, on en mélange pas, tout est bien segmenté. Je n'avais sur le coup absolument pas reconnu Jena Malone dans le rôle multitâche de Diana. Son visage a changé il me semble ou c'est juste le fait qu'elle soit blonde...
Je reste admiratif de la précision avec laquelle sont réglés beaucoup de plans longs, à la limite de la chorégraphie. C'est du boulot qui est tout de même un cran au dessus du gros de la production. C'est vrai que la narration n'est absolument pas ponctuée au coup de théâtre, mais on redécouvre un plaisir de la temporalité qui nécessite un peu de patience. Et ça fonctionne. Je ne sais pas trop ce que Viggo va pouvoir apporter à Martin, ils sont en tout cas pris dans la même spirale meurtrière à défaut d'être semblables. Leur point commun étant au moins d'être des cas désespérés.
